• Une Église qui reste ouverte sur le monde.
  La seule raison d’être de l’Église, c’est l’évangélisation. Rien ne peut justifier une Église qui se réduirait à fonctionner sur elle-même. C’est pourquoi après avoir défendu la liberté de prier, ou l’importance de l’eucharistie, plus que jamais les chrétiens doivent montrer leur sollicitude pour tous ceux qui – hors des rangs de la communauté, pâtissent de la situation présente.

• Des communautés fragilisées par le confinement.
  Avec la difficulté de ne pas se retrouver, le tissu de la communauté est en train de se défaire : nous avons besoin de nous rencontrer, de nous parler, de nous rapprocher. A la sortie du confinement, il nous faudra monter un projet communautaire pour relancer notre élan en tant que doyenné, en tant qu’Église.

• Rappeler l’importance de notre unité
  Chacun peut avoir ses charismes, sa sensibilité… Tout est légitime, mais une seule chose ne sera jamais acceptable : ce qui blesse notre unité. Ce qui blesse l’unité de l’Église, blesse le Christ, dont nous formons le Corps par notre intégration à la vie chrétienne, et notre baptême.

• Le temps de l’Avent
  C’est le temps de préparer Noël, un temps à prendre au sérieux cette année, particulièrement. Une année liturgique nouvelle commence déjà… Que l’Esprit Saint nous inspire : ouverture, recueillement, service et louange, une louange qui résonnera, avec joie des anges, au soir de Noël.

Le Père Christophe Battut nous transmet ce message au travers d’une vidéo que vous pouvez trouver en cliquant sur l’image suivante :